Classe de 6e année du primaire de l’école Micheline-Brodeur à Saint-Paul-d’Abbotsford. Enseignante : Karine Grenier.
Oeuvres à suspendre représentant des organismes de l’océan
École primaire Micheline-Brodeur
Auteur : Marie-Ève Blanchette
École primaire Chantignole
École primaire Chantignole à Bromont, Classe de 5e année du primaire, Enseignante : Caroline Raynault-Desgagné.
École secondaire Jean-Jacques-Bertrand
École secondaire Jean-Jacques-Bertrand, Municipalité de Farnham, Classe de secondaire 2 PEI, Enseignante : Marylyne Tremblay.
Dauphin, Pélican et tortue faits de plastique, de carton et de papier.
« Ce sont des élèves de 2e secondaire du PEI (programme d’éducation intermédiaire) qui ont réalisé les trois œuvres. Pour le processus, les élèves ont abordé le projet en travaillant l’art engagé. Cette forme d’art consiste à prendre position en adoptant un point de vue engagé par rapport à une problématique dans le monde et à utiliser l’art pour sensibiliser le public et ainsi engendrer des changements. Ils ont donc choisi une problématique liée à l’environnement aquatique et ont effectué une courte recherche sur le sujet. Ils ont ensuite fait une recherche d’images pour faire un montage à l’aide du logiciel paint.net. Ils ont également travaillé les contrastes de leur image de manière à obtenir des zones de couleurs plus marquées. Ils ont projeté leur image sur un grand format de carton recyclé pour la retracer. Puis finalement, ils ont récupéré des matériaux recyclés, des déchets et des revues qu’ils ont découpés pour travailler leur œuvre à la manière d’une mosaïque, ce qui donne des œuvres porteuses de sens autant par l’image représentée que les matériaux qui ont été utilisés. » – Jasmine Rochette , Enseignante d’arts plastiques à l’école secondaire Jean-Jacques-Bertrand.
Thérèse la tortue
Thérèse la tortue réalisée par Isabelle Lavoie de l’INRS ETE.
Cécile la pieuvre
Cécile la pieuvre réalisée par Isabelle Lavoie de l’INRS ETE.
Ce cône malmené a inspiré Cécile la pieuvre.
Marina du Port de Québec
Dans le cadre d’un projet pilote mis en place à la Marina du Port de Québec, un Seabin a été installé dans le Bassin Louise. Le Seabin est un réservoir flottant submersible automatisé et muni d’une pompe, utilisé pour capturer les débris flottants, y compris le plastique. Des débris ont été récoltés par le Seabin du 19 juillet au 18 octobre 2021. Au total, le Seabin a récolté 1684 objets/débris de plastiques, c’est-à-dire 563 g de plastique retiré des eaux de la marina. Sur le total de 1684 objets en plastique, 835 débris de plastiques étaient des microplastiques (≤ 5mm). Marie-Eve Blanchette a réalisé cette mosaïque avec l’ensemble des débris récoltés.
Comment fonctionne le Seabin ?
Le Seabin récolte les déchets grâce à un mouvement qui suit le niveau de l’eau, c’est-à-dire en montant et en descendant. En effectuant ce mouvement, le Seabin aspire l’eau de surface et les débris flottants grâce à une pompe à eau submersible. L’eau est ensuite rejetée dans le bassin tandis que les débris de 2mm et plus restent dans le panier collecteur.
École primaire Parkview
Œuvre de la classe de 2e année de Mr Jayson Avery-Martin de l’école Parkview à Granby. Cet hippocampe a été fabriqué à partir de déchets, plus particulièrement des emballages, ramassés sur le sol du parc Victoria à Granby.
École primaire St-Léon
Pavillon JBH Larocque de l’école primaire St-Léon de Cowansville. Enseignant : Étienne Benoit. Travail de deux classes de maternelle.
La Maison Léon Provancher
À la suite d’une récolte de déchets organisée par la maison Léon Provancher le printemps dernier à Cap-Rouge, près de 500 kg de déchets ont été récoltés par les familles participantes. Marie-Eve Blanchette et Isabelle Lavoie ont par la suite sélectionné des débris de plastique afin de réaliser cette première mosaïque entièrement faite de plastique trouvé dans l’environnement. Ce premier essai de mosaïque est en quelque sorte une démo pour l’initiative MosaïPlastiQ.
La maison Léon Provencher a d’ailleurs créé une capsule vidéo dans laquelle le projet est expliqué